Côté élu, le but est de ne plus avoir une friche et l'on aurait vite l'idée de raser le problème de l'instant et de détruire, de ce fait, notre passé.
L'on considère une société à la manière dont elle respecte ses anciens. En urbanisme, c'est pareil.
Cette semaine aura productive et les semaines prochaines risquent de l'être autant. Ce n'est pas à cause des prochaines élections, ou alors j'aurai été bon! Le but que je me donne est de trouver la meilleure solution.
Et 2. Ce jeudi, j'ai signé l'acte de vente du moulin à tabac pour en faire un établissement de formation. Voila un beau bâtiment qui nous rappelle l'histoire du passé industriel de la rue de Lille. Le permis de construire est déjà signé. Les nouveaux propriétaires devraient commencer les travaux de toiture dès la semaine prochaine! Quand je pense à celles et ceux qui voulaient le raser. Je me souviens de ce gars, qui le
Et 3. Nous avions, rue Édouard Herriot, trois bâtiments en friche. L'un d'entre eux, l'ancienne caserne des pompiers a été rénovée. Je viens de signer un permis de construire pour le lot de petites maisons avoisinantes. Le troisième et plus majestueux semble être prêt pour un beau projet. Travailler sur trois friches accolées n'était pas aisé.
Peut-être 4, voire plus. En effet certains dossiers sortent de terre. Mais l'on ne va pas dévoiler tout tout de suite.
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