dimanche 29 décembre 2013

Cap des 10000!

Le cap des 10000 pages vues a été atteint ce week-end.  J'ai publié 84 articles portant sur Béthune, ses environs, et aussi sur notre société.



 
Les articles locaux semblent être les plus appréciés. Ceux sur le cinéma et le quartier de la gare furent les plus lus.

Ceux sur la grand-place et le commerce, qui parlaient notamment de la circulation automobiles et le stationnement ont été les plus commentés.









Celui sur la gare d'eau, avec mes amis les Grèbes Huppés, m'a permis d'avoir des remarques précisant que je n'étais pour rien dans ces travaux. Je confirme que c'est Anne Ecuyer et moi-même qui avons inscrit le financement dans le budget pluriannuel (100 000€ par an pendant 4 ans). Il faudra maintenant, s'occuper de la gouvernance et de la gestion de ce poumon vert.


L'article le plus long est celui sur la Busnes Basse, c'est à dire entre le canal d'Aire et la Lys. Le texte est toutefois moins long que les 7km de ce beau parcours à faire en kayak ou en canoë.




L'article sur la station Esso a été remarqué et commenté, ce qui prouve que les lecteurs aiment comprendre le pourquoi et l’historique de telle ou telle friche. Un commentaire anonyme précisait que tout n'était pas vrai et je ne serais pas étonné qu'il fut écrit par un ancien ministre.

"Chaque élu, voulant se faire réélire va vouloir écrire son bilan et c'est normal. Il peut "profiter" des actions des uns et des autres et peut aussi leur accorder une coproduction. Ce serait de l’honnêteté intellectuelle."

Sur le projet du Moulin à Tabac, j'étais bien seul contre tous. Mes alliés pour garder ce monument étaient trop rarement dans l’exécutif municipal. Le maire et le 1er adjoint voulaient le détruire (ceci a d'ailleurs été relaté dans la presse). Le soir de l'incendie, le DGS expliquait aux journalistes que le bâtiment était foutu et que la destruction allait se faire rapidement! Il faisant fi que cette construction avait supporté les temps grâce à des renforts dans les caves et surtout à des chainages de béton armé à chaque étage. Le premier adjoint, celui qui voulait nommer une rue jouxtant la place Foch en rue Claude François, avait fait élaborer un permis de démolir pour ce bâtiment pendant ma période de vacances d'été. Et oui!

Merci aux lecteurs d'avoir fait l'impasse sur la forme en oubliant les quelques photes d'orthographe et rendez-vous pour les 20000!

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