mercredi 30 novembre 2011

La place des minorités

La grande rigolade d’un nombre important de femmes et d’hommes politiques béthunois se fait en parlant de l’idée du groupe pour une personne seule.
Si l’on peut effectivement se poser la question de l’intérêt qu’une personne représente un groupe, le nombre serait-il alors une valeur de vérité ?
La question qu’il faut se poser, du moins celle que je me pose, c’est l’espace que l’on donne aux minorités. Une personne seule dépendant d’un parti politique connu serait-elle, de fait, supérieure à une personne seule sans soutien national ?
Parfois, des groupes bien constitués n’ont pas grand-chose à dire alors qu’une individualité peut avoir des idées intéressantes.
En fait, la rigolade cacherait-elle un manque d'ouverture....


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